Industrie : TI / Médias numériques
Fonction : Vice-présidente Capital humain et service client
Voici ce que Mélanie avait à nous partager après son expérience en tant que participante à l’atelier Surdek Les cinq dysfonctions d’une équipe.
Bien que notre équipe travaillait généralement bien ensemble, nous avions des difficultés et des obstacles dans notre communication. Il n'y avait pas d'animosité dans nos échanges, mais on sentait qu'on n'était pas toujours à l'aise d’exprimer des opinions divergentes. Je dirais qu'un de nos principaux défis concernaient notre capacité à avoir des conversations difficiles. Cela avait pour résultat que les discussions de groupe n'étaient pas toujours un espace sécuritaire pour s'exprimer.
Aussi, lorsque nous prenions des décisions en groupe, il arrivait parfois que différents membres de l'équipe n'aient pas la même version des décisions prises. Il était donc difficile de travailler en équipe vers un objectif commun. Ces malentendus étaient aggravés par le fait que les gens se retenaient de partager leur pensée de peur de briser l’harmonie au sein de l’équipe. Il y avait donc beaucoup de déception non exprimée quant à des attentes qui n’étaient pas atteintes.
Nous avions travaillé avec Steffan il y a quelques années sur des initiatives de développement du leadership. Les formations que nous avons reçues à l'époque ont eu un impact durable. On faisait encore référence à des choses qu'il avait partagées avec nous pendant la formation! Il nous a aidé à faire de grands progrès en équipe.
C'est pourquoi nous avons choisi l'équipe Surdek Solutions. Nous leur avons fait confiance pour nous amener à un autre niveau en nous donnant de nouveaux outils et en nous forçant à sortir de nos patterns et de notre zone de confort.
Nous avons fait évoluer notre façon de communiquer et de travailler ensemble pour avoir un meilleur fonctionnement en équipe. Nous avons appris à remarquer les comportements inefficaces lors de nos réunions et nous sommes plus en mesure de les nommer lorsqu’ils surviennent.
Les devoirs entre les séances nous permettaient aussi de pratiquer des choses ensemble. Nous accordons maintenant beaucoup plus d'importance à la clarté des décisions que nous prenons ensemble, pour nous assurer que tout le monde a entendu et compris la même chose.
À mesure que nous avancions dans les ateliers, nous sommes devenus de plus en plus à l'aise de nous parler. Nous sommes maintenant mieux outillés pour partager le fond de notre pensée et nos opinions dans la bienveillance et le respect.
Nos discussions sont plus efficaces parce que nous sommes dans le vrai. Nous percevons les points de vue divergents non pas comme des menaces, mais comme des opportunités de prendre des décisions plus réfléchies et créatives.
Il y a eu une session particulière de l'atelier qui a vraiment débloqué des choses pour nous. Nous avions une discussion sur la confiance mutuelle, sur ce que cela représentait pour nous et comment nous allions l'appliquer au quotidien.
Sur le coup, c’était tout un défi, car cela nous a obligés à exprimer des sentiments ou des opinions qui étaient jusqu’à ce jour refoulés. Notre équipe a géré l'inconfort et nous avons travaillé ensemble pour le résoudre. Nous sommes contents de l'avoir fait, car cette session a donné le ton pour le reste de l’atelier. Nous avons ainsi pu reconnaître nos forces et nos points de vigilance.
« Steffan et Geneviève ont agi comme de véritables facilitateurs, à la fois en avant-plan et en coulisses, afin de s’assurer que le groupe avançait au même rythme, tout en prenant le temps d’assimiler les changements à la dynamique de groupe. »